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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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N° 4119 - Proposition de loi de M. Philippe Vigier visant à garantir un accès... - 0 views

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    "Alors que le préambule de la Constitution de 1946 énonce en son article 11 que « la Nation [...] garantit à tous, […] la protection de la santé », la France est aujourd'hui plus que jamais confrontée à une situation paradoxale en termes d'accès aux soins : malgré un niveau d'offre de soins encore globalement élevé et un nombre de médecins qui n'a jamais été aussi important, les inégalités d'accès aux soins s'accroissent dans nos territoires. Notre système de santé est aujourd'hui confronté à un double défi ; démographique et économique. Il doit s'adapter et se moderniser pour garantir des soins de qualité à l'ensemble de la population. Présentée comme le grand texte du quinquennat en matière de santé, la loi de modernisation de notre système de santé n'a pas réglé la question de l'accès aux soins sur le territoire. Aucune mesure d'ampleur n'a été prise pour lutter contre le drame de la désertification médicale. Au 1er janvier 2015, selon les chiffres publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la France comptait 102 485 généralistes et 119 665 spécialistes, soit un total de 222 150 médecins. Ce chiffre élevé constitue un record et s'explique par la formation d'un grand nombre de praticiens dans les années 1960 et 1970. Pour autant, les difficultés et les inégalités d'accès aux soins devraient s'aggraver à court et moyen terme sous l'effet conjugué du vieillissement de la population, de l'évolution des modes de prise en charge, de la hausse du niveau d'exigence de nos concitoyens et de la forte prévalence des maladies chroniques. Ces facteurs auront pour conséquence une augmentation importante de la demande de soins alors même, qu'en parallèle, le potentiel démographique des professions de santé devrait mécaniquement diminuer d'ici 2025. En effet, la modulation d'un numerus clausus pour les études médicale
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Gouvernement - Dossier de presse - Agir pour les aidants : Stratégie de mobil... - 0 views

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    En France, 8 à 11 millions de personnes soutiennent un proche en perte d'autonomie pour des raisons liées à l'âge, à un handicap, à une maladie chronique ou invalidante. La mise en place d'une stratégie de mobilisation et de soutien des aidants est donc plus que nécessaire afin de reconnaître le rôle des proches aidants mais aussi d'améliorer leur qualité de vie. 6 PRIORITÉS ET 17 MESURES CLÉS POUR LES PROCHES AIDANTS Priorité 1 : rompre l'isolement des proches aidants et les soutenir au quotidien. Mise en place d'un numéro téléphonique national de soutien des proches aidants dès 2020 ; création d'un réseau de lieux d'accueil labellisés « Je réponds aux aidants » dès 2020 ; création d'une plate-forme numérique « Je réponds aux aidants » d'ici à 2022 ; diversification et déploiement des offres d'accompagnement par des professionnels et des pairs dans tous les territoires. Priorité 2 : ouvrir de nouveaux droits sociaux aux proches aidants et faciliter leurs démarches administratives. Le congé de proche aidant indemnisé pour les salariés, les travailleurs indépendants, les fonctionnaires et les chômeurs indemnisés, mis en place dès octobre 2020 ; dès janvier 2020, un congé de proche aidant pourra être pris dès l'arrivée en entreprise, sans attendre 1 an comme auparavant ; dès novembre 2019, des périodes de congé proche aidant ne compteront plus dans le calcul des droits au chômage pour éviter une baisse des allocations ; dès octobre 2020, le congé de proche aidant indemnisé au titre des droits à la retraite sera pris en compte automatiquement, sans formalités à accomplir. Priorité 3 : permettre aux aidants de concilier vie personnelle et vie professionnelle. L'assouplissement du congé de présence parentale et de l'allocation journalière de présence parentale pourront être pris de façon fractionnée, par demi-journées, dès janvier 2020 ; le retour à l'emploi des aidants
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Conseil national de l'Ordre des médecins - Construire l'avenir à partir des t... - 0 views

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    L'Ordre des médecins publie aujourd'hui son projet de réforme pour la santé, un projet de réforme globale autour de quatre grands principes : libérer en offrant un cadre qui permette de catalyser les énergies des acteurs individuels, décentraliser, simplifier, et garantir un réel accès aux soins à tous. Ce projet de réforme, voulu et attendu par les médecins, propose de révolutionner l'organisation de notre système de santé en s'appuyant sur les territoires. De l'écoute à l'action 2016 a été pour l'Ordre des médecins un temps d'écoute. Lors de notre Grande consultation et de nos rencontres en région, les médecins nous ont donné un mandat clair, celui de concevoir et de porter auprès de nos décideurs une réforme globale, concertée et partagée pour notre système de santé : 95% des médecins estimaient en effet nécessaire de le réformer. En 2017, l'Ordre des médecins passe à l'action en faisant émerger, à l'occasion des prochaines élections présidentielles, une vraie réforme du système de santé, la réforme voulue par la profession médicale. Un projet qui repose sur 4 grands principes : libérer les initiatives, décentraliser les décisions, simplifier les exercices et garantir l'accès aux soins et la qualité des soins. Repenser le système de santé en repartant des territoires Dressant le diagnostic d'un système de santé devenu d'une complexité extrême, hyper-administré et centralisé, et déconnecté des besoins réels des territoires, l'Ordre des médecins estime urgent le besoin de repenser l'organisation de l'offre de soins, et de proposer une offre cohérente adaptée aux besoins réels de santé de chaque territoire. Proposer l'offre de soins la plus à même de répondre aux besoins des populations exige de miser sur les acteurs des territoires, sur leur connaissance des problématiques locales, en leur donnant les moyens de s'organiser afin d'améliorer les sit
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Commission européenne - Communiqué de presse - Débat de la Commission sur le... - 0 views

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    "La Commission européenne a présenté aujourd'hui un livre vert visant à lancer un vaste débat politique sur les défis et les possibilités liés à une société européenne vieillissante. Elle expose les conséquences de cette forte tendance démographique sur notre économie et notre société et invite le public à exprimer son point de vue sur les actions à mener pour y faire face, dans le cadre d'une consultation publique qui durera 12 semaines. Le livre vert encadre le débat sur le vieillissement en exposant la rapidité et l'ampleur des changements démographiques dans notre société, ainsi que les conséquences de cette évolution sur nos politiques et les questions que nous devons nous poser face à ce phénomène. Cela englobe tout ce qui va de la promotion de modes de vie sains et de l'apprentissage tout au long de la vie au renforcement des systèmes de santé et de soins en passant par la prise en charge d'une population plus âgée. Le livre vert souligne la nécessité de faire entrer davantage de personnes sur le marché du travail, met en lumière les possibilités de création d'emplois et examine l'incidence du vieillissement sur nos carrières, notre bien-être, nos retraites, notre protection sociale et notre productivité. Il adopte une approche fondée sur le cycle de vie, qui reflète l'impact universel du vieillissement sur toutes les générations et à toutes les étapes de la vie. Ce faisant, il souligne également l'importance de trouver le juste équilibre entre des solutions durables pour notre système de protection sociale et de renforcer la solidarité intergénérationnelle."
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Commission européenne - Livre vert - Débat de la Commission sur le vieilliss... - 0 views

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    "La Commission européenne a présenté aujourd'hui un livre vert visant à lancer un vaste débat politique sur les défis et les possibilités liés à une société européenne vieillissante. Elle expose les conséquences de cette forte tendance démographique sur notre économie et notre société et invite le public à exprimer son point de vue sur les actions à mener pour y faire face, dans le cadre d'une consultation publique qui durera 12 semaines. Le livre vert encadre le débat sur le vieillissement en exposant la rapidité et l'ampleur des changements démographiques dans notre société, ainsi que les conséquences de cette évolution sur nos politiques et les questions que nous devons nous poser face à ce phénomène. Cela englobe tout ce qui va de la promotion de modes de vie sains et de l'apprentissage tout au long de la vie au renforcement des systèmes de santé et de soins en passant par la prise en charge d'une population plus âgée. Le livre vert souligne la nécessité de faire entrer davantage de personnes sur le marché du travail, met en lumière les possibilités de création d'emplois et examine l'incidence du vieillissement sur nos carrières, notre bien-être, nos retraites, notre protection sociale et notre productivité. Il adopte une approche fondée sur le cycle de vie, qui reflète l'impact universel du vieillissement sur toutes les générations et à toutes les étapes de la vie. Ce faisant, il souligne également l'importance de trouver le juste équilibre entre des solutions durables pour notre système de protection sociale et de renforcer la solidarité intergénérationnelle."
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BVA - Les Français et les liens entre les générations - 0 views

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    Des personnes âgées et des jeunes perçus comme solidaires avec les autres, et des jeunes également jugés individualistes Les Français jugent majoritairement que les personnes âgées et les jeunes sont plutôt solidaires avec les autres (72% concernant les personnes âgées et 57% en ce qui concerne les jeunes). 4 Français sur 10 (39%) estiment que les personnes âgées sont plutôt individualistes, alors que plus de 6 Français sur 10 (61%) ont le sentiment que les jeunes le sont. Si plus d'un Français sur deux estiment que les jeunes générations et les générations âgées s'entraident, la majorité pense qu'elles ne se comprennent pas bien Une courte majorité de Français ont le sentiment que les deux générations s'entraident (55%), ont des valeurs en commun (52%) et partagent leurs expériences (51%). En revanche, seuls 3 Français sur 10 (31%) pensent que les deux générations se comprennent bien. Aux yeux des Français, les jeunes devraient surtout apporter aux personnes âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne Pour l'ensemble des Français, il faudrait que les jeunes apportent surtout aux générations âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne (50%), puis leur connaissance du numérique (43%). En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus placent en 1ère position l'affection des jeunes (45%) L'organisation de visites au domicile des personnes âgées : la meilleure solution pour renforcer les liens intergénérationnels Pour permettre d'aller vers une société plus fraternelle à l'avenir, l'idée qui se positionne en tête du classement des Français est l'organisation de visites au domicile des personnes âgées par des jeunes, notamment au travers du bénévolat ou du service civique (52%).
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Drees - Les Français vivent plus longtemps, mais leur espérance de vie en bon... - 0 views

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    En 2016, l'espérance de vie en bonne santé, c'est-à-dire le nombre d'années qu'une personne peut compter vivre sans souffrir d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne, s'élève en France à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes. Elle est stable depuis dix ans. Parallèlement, l'espérance de vie en bonne santé à 65 ans, qui s'établit à 10,5 ans pour les femmes et 9,4 ans pour les hommes, a augmenté au cours de cette période : respectivement +0,9 an et +0,8 an. Ces évolutions s'inscrivent dans un contexte de progression de l'espérance de vie à la naissance. En 2016, celle-ci atteint 85,3 ans pour les femmes et 79,3 ans pour les hommes. Alors que la France occupe l'une des meilleures places en matière d'espérance de vie à la naissance, elle est assez proche de la moyenne européenne pour l'espérance de vie en bonne santé.
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INJEP - [Jeunesse] Expérimentations en matière de santé : premiers enseignements - 0 views

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    Les jeunes (15-30 ans) sont pour la plupart en bien meilleure santé que leurs aînés : 80 % des jeunes ne présentent pas de pathologies recensées par l'Assurance maladie contre près de 60 % dans l'ensemble de la population1. Ils se considèrent également en moyenne plutôt en bonne santé2. Toutefois, ils sont aussi moins conscients de leurs besoins en ce domaine. Cet état de santé des jeunes plutôt favorable ne doit pas masquer que la maladie peut également les affecter, comme le fait que les disparités sociales et territoriales de santé peuvent infléchir l'évolution de leur santé et leurs recours aux soins. C'est en effet dès cette période de la vie que les inégalités sociales et comportements en matière de santé apparaissent et peuvent s'inscrire dans la durée. Les politiques de santé intègrent ainsi des mesures spécifiques à la jeunesse, du fait de sa spécificité en termes de santé. Ainsi, le plan Santé des jeunes de 2008 visait à prévenir les conduites à risque spécifiques aux jeunes et à répondre aux besoins psychiques des jeunes les plus vulnérables. Le Plan Priorité jeunesse de 2013, dans le champ de la santé, soulignait la nécessité de favoriser l'accès aux soins des jeunes (jeunes scolarisés, étudiants, jeunes en insertion et/ou en situation de précarité sociale). C'est dans ce cadre d'actions que le Fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ) a lancé plusieurs appels à projets pour impliquer les jeunes et les acteurs locaux dans la prévention santé et améliorer l'accès aux soins des jeunes (2ème vague d'appel à projets du FEJ lancé en 2009 et deux premiers appels à projets ultra marins lancés en 2009 et en 2011). La note décrit succinctement les dispositifs expérimentés, en proposant des zooms sur des projets illustrant la gamme des actions soutenues. Elle expose les méthodes d'évaluation appliquées et les principaux résultats de ces évaluations. Les évaluations
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L'Opinion - «Sauver des vies ?» La tribune de Mgr Matthieu Rougé, évêque de N... - 0 views

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    "Ne faut-il pas cependant nous interroger sur le sens de ce leitmotiv ambiant : « sauver des vies » ? Il est évident quand il s'agit d'arracher à la mort des hommes et des femmes dans la force de l'âge, dont les responsabilités humaines et familiales sont grandes et dont le décès entraînerait des drames en cascade. Ce conditionnel n'est d'ailleurs malheureusement pas toujours de mise. Mais ce slogan devient problématique quand il prétend justifier le surconfinement des personnes âgées dans des Ehpad bunkerisés, au point de les priver de tout contact familial, amical, spirituel, à l'heure du grand passage en particulier. Qu'on me comprenne bien : toute vie, quel que soit son degré de force ou de fragilité, a le même prix ou plutôt est sans prix tant elle est unique et précieuse. Toute vie mérite d'être servie et toute personne mérite d'être soignée. Mais on ne sauve pas des vies en les privant de ce qu'elles ont d'essentiel : les relations qui les fondent. Comme l'a également déclaré Alain Finkielkraut, « il ne faudrait pas que nous croyions que la vie physiologique est le tout de la vie. La vie, c'est aussi les autres »."
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Drees - Perte d'autonomie : à pratiques inchangées, 108 000 seniors de plus s... - 0 views

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    En 2030, 21 millions de seniors de 60 ans ou plus vivront en France, soit 3 millions de plus qu'en 2019. Selon le modèle de projection Lieux de vie et autonomie (LIVIA) de la DREES, conserver les pratiques actuelles d'entrée en institution des personnes âgées en perte d'autonomie supposerait de doubler dans la durée le rythme d'ouverture de places observé depuis 2012, afin d'accueillir 108 000 résidents supplémentaires en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) entre 2019 et 2030, puis encore 211 000 entre 2030 et 2050, qui viendraient s'ajouter aux 611 000 résidents sur les places existantes. Cependant, favoriser le maintien à domicile et limiter les places en Ehpad, comme le plébiscitent les politiques actuelles, pourrait entraîner le report d'une partie des seniors vers des formes d'habitat intermédiaire entre les logements ordinaires et les Ehpad, comme les résidences autonomie. Le nombre de personnes en résidence autonomie, qui s'élève actuellement à un peu plus de 100 000, devrait alors être multiplié par 1,5 à 2,5 en 2030 par rapport à aujourd'hui, selon les scénarios d'évolution du nombre de places en Ehpad retenus. Les Ehpad se concentreraient alors sur l'accueil des seniors les plus dépendants. Dans une hypothèse plus optimiste, où l'espérance de vie sans perte d'autonomie augmenterait d'autant d'années que l'espérance de vie globale, le maintien du rythme d'ouverture de nouvelles places en Ehpad observé depuis 2012 suffirait pour conserver les pratiques actuelles d'entrée en institution des seniors en perte d'autonomie entre 2020 et 2050.
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Credoc - Les processus d'entrée en structure d'accueil pour personnes âgées v... - 0 views

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    "Les études prospectives prévoient un vieillissement graduel de la population. Le nombre des 75 ans ou plus passerait à 13,5% de la population en 2060, contre 9,3% en 2020, quasiment à 11 millions en 2035 et celui des 85 ans ou plus à plus de 5 millions. Le processus de choix et décision dans les familles sur les lieux de vie et d'accueil pour les personnes âgées est relativement méconnu. La compréhension de celui-ci semble incontournable pour orienter au mieux les politiques publiques d'accompagnement du grand âge. L'enquête menée par le CREDOC à la demande du groupe Caisse des Dépôts, d'AG2R LA MONDIALE et de Terra Nova montre que dans quatre cas sur dix les familles qui seront bientôt concernées anticipent que la décision d'entrée en maison de retraite se fera contre l'accord de la personne concernée. Les familles attendent souvent le dernier moment et l'entrée en établissement a souvent lieu en situation de « crise ». Au-delà des questions financières, de la culpabilité ressentie par les proches de ne pas respecter le désir des personnes concernées de rester chez elles, et des difficultés relationnelles anticipées, cette attitude s'explique aussi par les représentations négatives des EHPAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) qui constituent l'essentiel de l'offre d'accueil en France. L'enquête montre que les structures d'accueil pour personnes âgées sont associées très fortement à la perte d'autonomie des personnes accueillies, en convergence avec la spécialisation observée ces dernières années des EHPAD sur des publics de plus en plus dépendants, ou atteints de pathologies lourdes. L'investigation montre en outre qu'il est difficile pour les proches, eux-mêmes souvent en situation de fragilité (isolement, mauvaise santé, etc.) et mobilisés à la fois physiquement et psychologiquement par le quotidien des personnes âgées, de prendre à bras le co
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Parlons Fin de Vie - Des infographies pour accompagner et dialoguer autour de la fin de... - 0 views

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    "Que l'on soit un proche accompagnant une personne en fin de vie ou un professionnel de santé, de nombreuses questions peuvent émerger : quels sont les droits d'une personne en fin de vie ? Quels sont les dispositifs qui existent pour l'accompagner ? Qu'est-ce que la sédation profonde et continue jusqu'au décès ? Comment dialoguer avec une personne en fin de vie ? En tant qu'organisme national chargé d'informer sur les dispositifs et droits existants, le Centre a élaboré deux livrets comprenant des infographies par thème, pour permettre à chacun de trouver facilement les informations et contacts. Le 1er est destiné aux professionnels de santé et le second s'adresse à toutes les personnes qui souhaitent s'informer et connaître les principales notions et les dispositifs dédiés."
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HCFEA - Tome 1 Synthèse Etat des lieux - Le soutien à l'autonomie des personn... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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HCFEA - Tome 1 Etat des lieux - Le soutien à l'autonomie des personnes âgées ... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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HCFEA - Tome 2 Synthèse Orientations - Le soutien à l'autonomie des personnes... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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HCFEA - Tome 2 Orientations - Le soutien à l'autonomie des personnes âgées à ... - 0 views

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    L'horizon choisi, 2030, se situe à une période charnière, où les premières générations du baby-boom arriveront à l'âge de 85 ans, âge moyen d'entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Dans un premier temps, le rapport dresse un état des lieux de la situation des personnes âgées en perte d'autonomie : état de santé, modalités d'accompagnement et systèmes de soins proposés dans leurs différents lieux de vie (domicile, habitat alternatif, établissement). Dans un second temps, le rapport identifie les grandes tendances et les enjeux à l'horizon 2030, notamment : * une augmentation de la demande de soins et du nombre de personnes ayant un besoin d'aide à l'autonomie (+24 % de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie - APA), sous l'effet des évolutions démographiques (+19 % d'individus de plus de 85 ans) et épidémiologiques (avec une forte prévalence notamment des maladies neurodégénératives) ; * la progression à cette date du potentiel démographique des proches aidants ; * le souhait vraisemblablement majoritaire des français de rester à leur domicile ; * la poursuite du développement à un rythme soutenu des formes alternatives d'habitat ; * la poursuite de la spécialisation des EHPAD sur les personnes âgées les moins autonomes et atteintes de troubles cognitifs, avec en parallèle le développement de modèles innovants d'EHPAD ouverts sur l'extérieur et sur le domicile ; * une prégnance accrue de la question de l'attractivité des métiers sociaux, médicosociaux et du soin, et de l'amélioration des conditions de travail. Pour favoriser le libre choix et permettre aux personnes âgées de vieillir dans les meilleures conditions possibles, le rapport préconise : * de renforcer le soutien à domicile : gestion de l'APA développement des aides techniques et des aménagements de l'habitat, réforme du secteur d
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Ministère de la santé - Dossier de presse - Priorité prévention (Stratégie na... - 1 views

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    Le plan "Priorité prévention" présenté ce lundi par Edouard Philippe et Agnès Buzyn, premier axe de la Stratégie nationale de santé, compte 25 "mesures phares", dont une partie intéressera les collectivités. Notamment sur le volet petite enfance ou enfance (instauration d'un "parcours de santé" entre autres) et personnes âgées. Les collectivités retiendront aussi l'extension du Nutri-Score à la restauration collective
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La Croix - Le prix de la vie et son coût - 0 views

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    "Chronique La chronique de Jean-François Mattei, membre de l'Institut de France et de l'Académie nationale de médecine. Il y a quelques années, un journal rapportant mes propos avait titré : « La santé n'a pas de prix ». Sans tarder, j'avais fait l'objet de remarques appuyées soulignant que je ne pouvais dire une chose pareille au regard du déficit abyssal de l'assurance-maladie. Il est vrai que la confusion entre le prix et le coût est habituelle dans le langage courant. Pourtant, s'agissant de la vie, les deux ne se situent pas au même niveau de valeur. Le prix de la vie relève d'une valeur morale alors que son coût exprime une valeur monétaire. C'est pourquoi, la protection de la vie et le maintien en bonne santé des citoyens constituent l'un des devoirs régaliens de l'État. Sauver des vies relève d'une mission inconditionnelle. On ne peut jamais mettre sur le même plan le respect de la dignité d'une vie humaine et un coût financier."
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Terra Nova - Perte d'autonomie : comment mieux accompagner les aidantes et le aidants f... - 0 views

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    Conjoints, parents, enfants, amis, voisins… sont nombreux à aider une ou un proche entravé.e dans le déroulement de sa vie quotidienne en raison d'un handicap ou d'une perte d'autonomie liée à l'âge. Depuis le début des années 2000 et dans l'optique du maintien à domicile, les subsides publics - Allocation personnalisée d'autonomie (APA) pour les personnes âgées, Prestation de compensation du handicap (PCH) pour les personnes en situation de handicap - ont pour objet premier de permettre l'accès aux services professionnels dédiés à la perte d'autonomie. Cependant, ces deux allocations permettent aussi, dans des conditions précisées par la loi, de rémunérer des proches, qu'il s'agisse de parents, d'amis ou de voisins. Le paiement se fait alors à l'heure de travail d'aide consentie. La monétarisation de l'aide quotidienne entre proches se présente le plus souvent lorsque l'engagement des individus dans l'aide est important et inscrit dans la durée. La monétarisation de l'aide des proches ne va pourtant pas de soi. Elle se déploie au sein de relations intimes, familiales ou de grande proximité, dans un contexte institutionnel dont les inspirations politiques ou normatives sont diverses et potentiellement antagonistes. Qui est en charge de l'aide ? Comment la question des revenus et de la protection sociale des proches aidants se gère-t-elle, à la fois en situation, mais aussi en relation avec les dispositifs de l'action publique ? Et, de ce point de vue, comment les normes instituées et les normes familiales ou locales cohabitent-elles ? Que dire encore de l'intégration concrète des aidants dans des systèmes d'aide organisés ? La présente enquête d'une équipe de recherche pour Terra Nova permet d'éclairer une série de difficultés récurrentes et permet une exploration inédite et détaillée de questions-clés : le moment de la décision, entre motivations personnelles et pression
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